L’histoire de L’HEBDO

L’HEBDO a été fondé en 1987 par Bernard Angles.
Au début, le titre s’appelait District Hebdo. Il était le relais d’une information libre et indépendante sur le district du Grand Rodez, et traitait également l’info locale aveyronnaise.

Avec le temps, et contre la volonté des barons politiques locaux, District Hebdo a grandi pour devenir le vilain « petit canard de l’Aveyron » et s’appeler « L’HEBDO, la semaine de l’Aveyron ».
Chaque semaine, « L’HEBDO » dénonçait les choix des politiques locaux et n’hésitait pas à raconter les affaires locales que la presse régionale n’avait pas trop le « droit » d’évoquer.
Malgré, les pressions, les procès (que les élus faisaient sur le dos du contribuable), les écoutes téléphoniques… L’HEBDO a résisté.

Grâce à son indépendance, sa liberté de penser et sa volonté d’être objectif « L’HEBDO » est devenu un journal incontournable dans notre département.

En 2004, L’HEBDO quittait son berceau pour s’installer à Millau chez Manuel Diaz, homme d’affaires et politique Aveyronnais.
Puis en 2008, après différentes péripéties, L’HEBDO allait s’éteindre. C’est alors qu’Anne-Marie Rolland et Gérard Galtier décidèrent de sauver le journal en le reprenant pour qu’il devienne « Le Nouvel Hebdo ».

Ainsi, il redevenait le « vilain petit canard » qu’il était.
En 2014, comme tous les grands sportifs, les journalistes ne veulent pas faire la « saison de trop ».
Dans un concours de circonstances, ils proposèrent à Philippe Angles de continuer l’aventure que son père avait lancé. L’affaire était faite.
Le « Nouvel Hebdo » rentrait au bercail ! Il retrouva son imprimerie natale, son esprit critique, et sa totale liberté de penser. Ainsi que son nom de toujours « L’HEBDO ».

L’HEBDO est un témoin de l’actualité. Un témoin objectif, qui en aucun cas n’a la prétention de devenir un acteur.

Le reste de l’histoire est à venir. Nos politiques locaux et nationaux sont de véritables sources d’inspiration. Qu’ils le veuillent ou non, L’HEBDO sera là pour leur rappeler, que sans vous, comme nous, ils ne sont rien. Longue vie à L’HEBDO.